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Juste un regard d'Harlan Coben
Et si votre vie n'était qu'un vaste mensonge ? Si l'homme que vous avez épousé il y a dix ans n'était pas celui que vous croyez ? Si tout votre univers s'effondrait brutalement Pour Grace Lawson, il a suffi d'un seul regard. Juste un regard sur une photo vieille de vingt ans pour comprendre que son existence est une terrible imposture. Mais le cauchemar ne fait que commencer... Traques, disparitions, vengeances implacables, assassinats sanglants... un suspense à vous couper le souffle, par Harlan Coben, le maître de vos nuits blanches.
Mon ressenti : Comme certains le savent déjà, j'aime beaucoup cet auteur ! J'ai vu qu'il y a bientôt une adaptation à la télé de ce livre alors je l'ai vite lu avant la diffusion du téléfilm.
Comme toujours, les personnages ont de fortes personnalités, des histoires de vie intéressantes.
Harlan Coben joue sur les secrets du passé, les faux semblants. Connait-on vraiment les gens avec qui l'on vit ?
Une vieille photo qui apparaît sans raison, un mari qui disparaît sans explication, de nombreux personnages qui vivent d'étranges événements... Quel est le lien ?
Une fin qui surprend avec un sacré retournement de situation.
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Il est très facile de basculer du mauvais coté. La ligne de démarcation est mince, quasi intangible. On la franchit rien qu'une seconde et parfois, eh bien, on n'arrive plus à faire demi-tour.
Quand on se retrouve enfermé dans le noir, seul avec ses pensées, l'esprit se tourne en dedans et c'est la débandade.
Le problème avec un drame, c'est qu'il faut continuer à vivre. On a pas le choix. On ne peut pas sortir de la route et attendre que ça se passe sur le bas côté - même si ce n'est pas l'envie qui nous manque.
Un homme pouvait se sacrifier par machisme, par stupidité ou du fait d'une fois aveugle en une hypothétique victoire. Une femme se sacrifiait sans se raconter de bobards.
Politiciens et journalistes: deux espèces en voie de prolifération caractérisées par une langue d'un bois si dur qu'on pouvait en faire des battes de base-ball.
Jack était le meilleur des maris. Intelligent, drôle, aimant, tendre et dévoué. Pour contrebalancer tout cela, Dieu l'avait doté des facultés organisationnelles d'une bouteille de limonade. En un mot, Jack était bordélique.
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Christine : http://kreichaline.eklablog.com/recette-janvier-a128090122
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Commentaires
1Asuka1985
Mercredi 18 Janvier 2017 à 00:10Lui aussi j'ai bien aimé. Bisous et bonne journée
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J'aime aussi beaucoup cet auteur
je vais noter pour le charger sur ma tablette et le lire avant la diffusion à la télé
Bisous bon mercredi
C'est vrai qu'il vaut mieux lire le livre avant de voir le film qui souvent est bien différent du roman .
Bises
Jamais déçu avec cet auteur, on est pris de suite dans l'histoire! bon courage pour cette journée polaire!
Coucou Khanel
Je n'ai pas lu le livre par manque de temps.
Vrai on ne connait pas à fond celui qui est à nos côtés depuis tant d'années...
perso, je le découvre encore et encore...au moins on ne s'ennuie pas.
Je suis sûr que pour mon homme c'est pareil, il me découvre encore depuis 46 ans.
Comme quoi dans la vie on est jamais au bout des surprises.
belle journée
bisous
Bonjour Khanel je ne connais pas . Parfois on est déçu lorsqu'on voit le film après le livre . J'ai lu "Jamais sans ma fille "et quelques années après je suis allée voir et le film et quelle déception . Mais ce n'est peut être pas le cas pour tous les films tirés d'un roman. Bonne journée.
Il me semble l'avoir lu mais me souviens pas bien....faut que je cherche en tous cas cet auteur est un bon nul doute. Bisousssss
21mamazertyMercredi 18 Janvier 2017 à 20:30moi aussi je suis aussi organisée qu'une bouteille de limonade, aha;j'adore cette comparaison!
Moi aussi j'aime cet auteur. J'ai lu ce livre, mais je ne m'en souviens pas.
Bonne fin de semaine.
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