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Quand on part deux jours en formation à Paris
On quitte Pau sous la pluie....
On arrive à Paris, il fait sec.... il y a un truc pas normal....
A l'hotel, vue sur la tour de Montparnasse
by night
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Enniscorthy, sud-est de l’Irlande, années 1950. Comme de nombreux jeunes de sa génération, Eilis Lacey, diplôme de comptabilité en poche, ne parvient pas à trouver du travail. Par l’entremise d’un prêtre, sa sœur Rose obtient pour elle un emploi aux États-Unis. En poussant sa jeune sœur à partir, Rose se sacrifie : elle sera seule désormais pour s’occuper de leur mère veuve et aura peu de chance de se marier. Terrorisée à l’idée de quitter le cocon familial, mais contrainte de se plier à la décision de Rose, Eilis quitte l’Irlande. À Brooklyn, elle loue une chambre dans une pension de famille irlandaise et commence son existence américaine sous la surveillance insistante de la logeuse et des autres locataires.
Mon ressenti : Un beau roman, très bien écrit, on partage les aventures d'une jeune irlandaise qui se trouve parachuté en Amérique, seule et perdue dans ce nouveau monde.
Une jeune fille touchante et si naive.
On découvre la vie des immigrés après la seconde guerre à New York. Les irlandais, les italiens mais aussi les juifs qui s'adaptent à leur nouvelle vie.
Un beau roman même si la fin m'a paru un peu long, je n'ai pas trop aimé les longues hésitations de l'héroine.
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Eilis protesta :
- En Irlande, sur la plage, personne n'aurait l'idée de vous regarder. Ce serait considéré comme malpoli.
- En Italie, ce serait malpoli de ne pas regarder.La franchise est toujours préférable, quelle que soit la situation, dit-elle. Et quelles que soient les personnes concernées.
Il ne ressemblait à personne. Ou plutôt, elle n'avait jamais rencontré quelqu'un comme lui.
Il lui sourit, mais ce n’était plus du tout de l’ordre du divertissement. C’était un sourire chaleureux, sincère, indiquant à Eilis qu’elle avait affaire à un homme stable, presque mûr, et que, quelle que soit la nature de leur relation, en réalité, il ne plaisantait pas du tout. Elle lui retourna son sourire, puis baissa la tête et ferma les yeux.
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Bonne journée !
Tu me dis de regarder la vie en couleur
Quand il fait noir autour de moi.
Sur le dos j'ai trainé pas mal de douleur
Toi, tu m'portais à bout de bras.
Non, non, non, je n'ai pas toujours été sûr de moi
J'ai douté tellement de fois
Non, non, non, je ne sais pas ce que je ferai sans toi
Oh yeah
On dirait qu'on à tous un ange
On dirait, on dirait bien qu'c'est toi
On dirait que dans ce monde étrange
On dirait que t'as toujours été là
Oh oh oh oooooh oh oh oh oh oh ooooooh
Oh oh oh oooooh oh oh oh oh oh ooooooh
Tu me dis que mon rêve est juste à coté
Que j’ai juste à tendre la main
Toute ma vie, j'peux la passer à t’écouter
La douceur est ton seul refrain
Non, non, non, ce n'est pas toujours facile pour moi
J'ai plié tellement de fois
Non, non, non, je ne sais pas ce que je ferai sans toi
Oh yeah
On dirait qu'on à tous un ange
On dirait, on dirait bien qu'c'est toi
On dirait que dans ce monde étrange
On dirait que t'as toujours été là
Tout, tout tourne autour de toi
Toi, t'es la seul qui voit la beauté bien cachée derrière les visages
Tout, tout tourne autour de toi
Toi, tu sais lire en moi, promets-moi de n'jamais tourner la page
On dirait qu'on à tous un ange
On dirait, on dirait bien qu'c'est toi
On dirait que dans ce monde étrange
On dirait que t'as toujours été là
On dirait qu'on à tous un ange
On dirait, on dirait bien qu'c'est toi
On dirait que dans ce monde étrange
On dirait que t'as toujours été là
Oh oh oh oooooh oh oh oh oh oh ooooooh
Oh oh oh oooooh oh oh oh oh oh ooooooh
On dirait
Oh oh oh oooooh oh oh oh oh oh ooooooh
On dirait
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Dans son bureau du commissariat central de la rue O'Quin à Pau, le commissaire Jens Holtan peine à sortir de sa longue hibernation. Les affaires se suivent et se ressemblent, maussades et ennuyeuses comme les après-midi de pluie sur le Béarn.
Ce qu'il ne peut deviner, c'est que dans moins d'une minute, le lieutenant Inès Nieves va surgir dans son bureau.
Dans l'enveloppe qu'elle déposera, l'attend la photographie d'un corps inerte. Un notable du coin. Sans vie.
Un corps allongé dans une posture étrange, à même le cuir fauve de son canapé de standing. Et s'il n'était que le premier de la liste...
Sur la ville prête à sombrer dans la torpeur de l'été, un vent de panique s'apprête à tout balayer.Mon ressenti : Un petit polar facile à lire qui se déroule à Pau, un vrai plaisir.
Les personnages ont de vrais personnalités, si vivants que l'on a impression de les connaître.
On prend plaisir de déambuler à Pau et ses environs quand on connaît le coin comme moi !
J'espère avoir l'occasion de relire des aventures avec ces personnages
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A peine l'enveloppe ouverte, Holtan sut que le jour avait changé de couleur. Sur sa nuque, un frisson, un tremblement de chairs, ténu. Et si l'hiver n'avait pas dit son dernier mot...
- Carcassonne...D'origine espagnole...Grands-parents républicains j'imagine ? Débarqués en France à la fin de la guerre civile, c'est ça ?
- Disons plutôt en pleine guerre civile. Mais si ça vous intéresse, il faudra que je vous raconte toute l'histoire d'un peuple, vous savez. Mais il y en a pour des heures...**********
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Place Clémenceau à Pau en octobre
Jolis parapluies roses
Le soleil est là !
Le côté exotique
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