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La colline aux esclaves
À 6 ans, Lavinia, orpheline irlandaise, se retrouve esclave dans une plantation de Virginie : un destin bouleversant à travers une époque semée de violences et de passions... En 1791, Lavinia perd ses parents au cours de la traversée les emmenant en Amérique. Devenue la propriété du capitaine du navire, elle est envoyée sur sa plantation et placée sous la responsabilité d'une jeune métisse, Belle. Mais c'est Marna Mae, une femme généreuse et courageuse, qui prendra la fillette sous son aile. Car Belle a bien d'autres soucis : cachant le secret de ses origines, elle vit sans cesse sous la menace de la maîtresse du domaine. Ecartelée entre deux mondes, témoin des crimes incessants commis envers les esclaves, Lavinia parviendra-t-elle à trouver sa place ? Car si la fillette fait de la communauté noire sa famille, sa couleur de peau lui réserve une autre destinée.
Mon ressenti : Une saga à l'époque de l'esclavage, un sujet qui m'interpelle, j'aime ce genre d'histoire ! Le problème de ce livre c'est que dès le début, il m'a semblé que je connaissais l'histoire, un film ? un téléfilm ? Rien à faire, je me suis posé la question tout le long de l'histoire, ce sentiment de déjà lu ou vu...
Une histoire tragique du début jusqu'à la fin, vue avec les yeux d'une enfant naïve. Des personnages attachants, une histoire captivante.
De l'émotion, des drames tellement réaliste malheureusement !
Une histoire parfaite pour un film.... s'il n'existe pas déjà ????
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- Je veux pas être une Blanche, répondis-je, sentant monter la peur en moi. Je veux vivre avec Belle, et ensuite je vais épouser Ben !
Fanny, allongée en appui sur les coudes, se redressa pour me regarder dans les yeux.
- Il vaut mieux que t'oublies cette idée au plus vite. Tu seras jamais noire comme nous, et ça veut dire que t'es une Blanche et que tu vas vivre dans une grande maison. Dans tous les cas, tu peux pas épouser Ben. Il est noir.
- Fanny a raison, renchérit Beattie.
Je me mis à pleurer.
- J'ai le droit d'épouser Ben si je veux. Vous pouvez pas me forcer à être une Blanche.« Voilà ce que je sais. La couleur, le papa, la mama, on s’en fiche. On est une famille, on prend soin les uns des autres. La famille nous rend plus forts quand les temps sont durs. On se soutient tous, on s’aide tous. C’est ça une famille. »
Abinia, reprit-il en montrant le poulailler, regarde les poulets. Y en a des marrons, y en a des blancs, y en a des noirs. Tu crois que leur mama et leur papa s’en souciaient ?
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Ellerium : http://sentier-de-vie.over-blog.com/2016/08/si-j-etais-un-metier.html
Christine : http://kreichaline.eklablog.com/chez-khanel3-a126602510
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Commentaires
Va savoir! on fait souvent d'un livre un film ou vice versa et on change le titre et des livres et films sur l'esclavage il y en a eu assez bien, bonne journée
c'est curieux cette impression de déjà vu,
peut-être un film qui ressemble au livre!
bonne journée
bises
danièle
Oui, tu as certainement vu un film qui ressemblait beaucoup à cette histoire, mais il y a déja peut-être très longtemps!
Bisous
bonjour, il faut bien rentrer pour apprécier les vacances...je suppose que vous avez déjà une idée. Nous on faisait comme ça, on pensait aux prochaines !!
bisous
Peut-être un film sur ce même sujet, donne cette impression de déjà vu
Passe une belle soirée
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C'est embêtant ce ressenti
ça gâche le plaisir